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Jésus, était-il ainsi ?

Jésus et Marie

S’il a réellement existé, probablement, car c'était finalement un métis...

Il n’existe aucune donnée historique pouvant confirmer son fait, mais selon la grande Tradition ésotérique, son père Joseph était un prince d’Israël descendant de David, et sa mère Marie, une prêtresse égyptienne, “grande adoratrice d’Amon” qui était dite pour cette raison, “Meri-Amon”, ce qui va donner “ Myriam” chez les Hébreux, et “Maria”, chez les latins...

Selon ce qu’étaient les Egyptiens de l’époque et les représentations les plus anciennes que nous en avons d’elle, il s’agissait probablement d’une femme noire...

Ses parents s’étant réfugiés avec lui en Egypte, du temps où Hérode le Grand, ayant été informé de la venue d’un “messie” qu’il redoutait, avait donné l’ordre d’exécuter tous les nouveaux nés, il y sera initié, recevra les enseignements et obtiendra alors le titre égyptien de “Christ”, signifiant “maître des secrets”.

Il fut dit par erreur de Nazareth, alors que la ville ne sera fondée que deux siècles après lui, parce qu’il était en fait un “nazaréen”, c’est-à-dire un “devin”, un astrologue, selon le mot “naza” qui curieusement, quant on songe à l’appellation de l’agence américaine, désigne le mouvement des objets célestes, un nazareth étant en l’occurrence un observatoire.

On dit qu’on lui fit porter par dérision une “couronne d’épine”, mais il ne s’agissait nullement d’une couronne de piquants, comme on le représente habituellement, et ce n’était certainement pas par dérision qu’on la lui fit porter, car il s’agissant en réalité d’une “couronne de roses”, telle que cette fleur qui constitue entre autres le symbole de la “raison” était alors dite “l’épine”.

On déposait une couronne, représentant un cercle, symbole de la perfection, sur la tête des hommes dont on célébrait l’excellence, et tel était le cas avec la couronne de “laurier” (laurea), dont celui qui la portait était dit “laureatus”, ou “baccalaureatus”, s’il s’agissait de baies (bacca) de laurier, et en tant que “cercle”, symbole du rassemblement d’une collectivité d’humains, sur la tête de celui qui en était l’incarnation, c’est-à-dire un prince ou un roi, et qui en détenait une autorité sur ceux qui étant “sous-jacents” au fait de sa royauté, constituaient précisément comme tels, ses “sujets”.

La croix qui lui est associée et sur laquelle on dit qu’il mourut, est en fait le symbole, bien antérieur à lui, du “secret”, c’est-à-dire de la “métaphysique” qui ne possède comme telle aucune évidence physique, et selon laquelle se trouve articulée la vie et la mort, telles qu’elles sont indissociables l’une de l’autre, de sorte que tout ce qui vit, est fatalement appelé à mourir, et que tout ce qui est mort, est fatalement appelé à revivre...

Il est remarquable à ce sujet que ce signe correspond à la combinaison des deux significations que nous faisons avec notre tête pour dire oui et non, et qu’il indique leur solidarité inattendue. Si donc le secret ne peut faire l’objet d’aucune mise en évidence, c’est tout simplement parce qu’il procède de la “contradiction”, laquelle constitue la disposition selon laquelle se trouve structurée tout notre univers, entre la “réalité” de tout ce qui est, correspondant à “oui”, et la potentialité de tout ce qui n’est pas encore, ou qui n’est déjà plus, correspondant à “non”.

Ce qu’il faut comprendre d’essentiel dans cette affaire, c’est qu’il n’existe pas de tierce partie dans la dualité, “réalité/potentialité”, telle qu’il se pourrait quoi que ce soit qui ne serait ni une réalité, ni une potentialité. Tout ce qui n’est pas réalité est donc potentialité, de sorte que tout ce qui n’est pas encore, se peut, et que tout ce qui n’est déjà plus, se peut à nouveau...

Ainsi, l’association de la rose et de la croix, la “Rose-croix”, correspond-elle au symbole de la “raison secrète” des choses, dont l’étude constituait l’objet des sociétés initiatiques égyptienne, et c’est cette appellation qui sera reprise en Allemagne au 17éme siècle, avec la création des premières confréries rosicruciennes, qui tenteront de renouer avec la tradition des anciennes sociétés égyptiennes.

Bien sûr, il n’y a strictement rien d’historique, de prouvé, et d’incontestable, dans tout ce que je vous raconte là, il ne s’agit simplement ici, que de bavarder un peu...


Paris, le 28 novembre 2013
Richard Pulvar


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